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Il a été démontré que Cordyceps sinensis atténue la fibrose pulmonaire idiopathique chez la souris

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Une étude récente menée en Chine a rapporté que le Cordyceps sinensis (CS), un champignon médicinal traditionnel chinois, peut atténuer la fibrose pulmonaire idiopathique (FPI) chez la souris en inhibant le stress oxydatif médié par les mitochondries. La recherche, menée par une équipe dirigée par Huan Tang et Jigang Wang de l’Institut de matière médicale chinoise de l’Académie chinoise des sciences médicales chinoises, a été publiée dans Wiley’s Médecine du futur MedComm.

La fibrose pulmonaire idiopathique est une maladie pulmonaire chronique et évolutive caractérisée par une détérioration de la fonction pulmonaire, conduisant finalement à une insuffisance respiratoire et à une qualité de vie considérablement réduite pour les patients. Avec une survie médiane de 2 à 5 ans après le diagnostic, il existe un besoin urgent de traitements efficaces au-delà des médicaments antifibrotiques actuels, qui sont associés à des effets secondaires.

L’étude détaille comment le CS, connu pour ses propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires, atténue l’inflammation pulmonaire et les dépôts de collagène dans un modèle de souris IPF. L’analyse protéomique a révélé que l’effet thérapeutique du CS est dû à la régulation de la phosphorylation oxydative mitochondriale, suggérant un possible mécanisme de protection contre la FPI.

Les découvertes de l’équipe de recherche suggèrent que le CS réduit non seulement la production d’espèces réactives de l’oxygène mitochondriales (mitROS), mais atténue également le stress oxydatif et l’inflammation en ciblant les complexes mitochondriaux I et II. Ces mécanismes contribuent à l’effet thérapeutique du CS dans la fibrose pulmonaire et constituent une alternative prometteuse pour les patients souffrant de cette maladie débilitante.

L’étude conclut que le CS a le potentiel d’être un nouvel agent thérapeutique pour la FPI, dont les effets ont été validés par des expériences in vivo et in vitro. Cependant, les auteurs reconnaissent la nécessité de recherches plus approfondies pour identifier les composants spécifiques du CS responsables de ses effets thérapeutiques et pour élucider les mécanismes détaillés de son action.

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