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Une vaste étude analytique menée à l’Institut Terasaki et publiée dans Frontiers in Immunology met en évidence le rôle critique de la mémoire résidente dans les tissus Cellules T et comment ils influencent l’environnement immunitaire des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules et leur pronostic global.

Le cancer du poumon non à petites cellules représente environ 85 % des tumeurs du poumon et constitue l’une des principales causes de décès chez les adultes. On pense que les lymphocytes T mémoire résidant dans les tissus, un sous-ensemble spécifique de cellules immunitaires dans les tissus périphériques, influencent la progression du cancer. Cependant, on ne comprend pas encore pleinement comment les lymphocytes T mémoire résidant dans les tissus influencent le microenvironnement du système immunitaire tumoral et la progression tumorale dans différentes populations de patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules.

Cette étude approfondie a analysé plusieurs ensembles de données indépendants provenant d’échantillons provenant de patients atteints d’un cancer du poumon. De plus, un modèle d’apprentissage automatique a été développé et validé pour prédire la survie des patients et affiner un score de risque de 18 gènes permettant une catégorisation efficace. Patients atteints d’un cancer du poumon dans les groupes à faible risque et à haut risque. Dans la recherche sur le cancer, le score de risque de 18 gènes est utilisé pour prédire la progression de la maladie ou la probabilité de récidive, ce qui permet de créer des plans de traitement personnalisés. Les notations sont généralement divisées en risque faible et élevé, certains seuils définissant ces catégories. Dans cette étude, les patients présentant des scores à haut risque avaient des taux de survie globale significativement inférieurs à ceux de leurs homologues à faible risque. Des biomarqueurs distincts des lymphocytes T mémoire résidents dans les tissus ont été identifiés et présentent une corrélation positive avec d’autres cellules immunitaires dans l’environnement tumoral. De plus, ces biomarqueurs étaient fortement associés aux gènes de point de contrôle immunitaire et de stimulation, ce qui avait un impact direct sur le pronostic du patient.

Les résultats de l’étude mettent en évidence l’influence cruciale de l’abondance des lymphocytes T mémoire résidents dans les tissus sur les réponses immunitaires et les résultats pour les patients atteints d’un cancer du poumon. Nos résultats valident non seulement ces cellules en tant que marqueurs pronostiques, mais mettent également en évidence leur potentiel pour orienter des stratégies de traitement personnalisées, notamment en immunothérapie.


Dr. Xiling Shen, directeur scientifique, Institut Terasaki pour l’innovation biomédicale

Cette recherche révolutionnaire, validée indépendamment par le programme Cancer Genome Atlas et plusieurs ensembles de données provenant de patients atteints d’un cancer du poumon, permet de mieux comprendre l’interaction complexe entre les cellules T mémoire résidant dans les tissus et la tumeur. Cela représente une étape importante vers l’avancement de la médecine de précision dans le traitement du cancer du poumon.

Source:

Référence du magazine :

Shen, A., et autres. (2024). Une méta-analyse complète des cellules T mémoire résidant dans les tissus et de leur rôle dans l’élaboration du microenvironnement immunitaire et du pronostic des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules. Frontières de l’immunologie. est ce que je.org/10.3389/fimmu.2024.1416751.

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