En 2024, la Haute Santé Autorité a publié de nouvelles recommandations médicales pour le prix des personnes transgenres. Est-ce qu’ils disent qu’ils sont effectivement accompagnés de leurs parents ? Quel est leur parcours de transition ? Comment l’améliorer ? Les lecteurs de l’Inserm répondront à ces questions.

Un article paru dans le magazine Inserm n°59

C’est une chanson énorme : plus de quelques mois plus tard, la Haute Autorité de Santé prépare de nouveaux préjugés pour la récompense médicale des personnes transgenres. Annonce pour « Le cours de 2024 », votre publication est très appréciée de tous les acteurs qui apparaissent sur le parcours des personnes transgenres ou se lancent dans le voyage qu’a enduré cette journée longue et compliquée…

Des regroupements de personnes sont-ils concernés en France ? En 2020, 8 952 personnes ont reçu un remboursement à 100 % de leur bourse Trans Identity. Par définition, une personne transgenre ou « transgène » s’identifie à un genre différent qui correspond à son sexe de naissance, au sexe biologique qui se transmet aux organes reproducteurs et à l’identité de genre qui correspond à la sensation interne d’un homme ou d’une femme. Cela a été qualifié de « congruence de genre » et pourrait émerger de la petite pièce. Cette dissonance pourrait conduire à une incitation psychologique appelée « dysphorie de genre ». Laquelle peut souhaiter changer d’apparence pour être cohérent avec le genre qu’il envoie à son appareil.

L’accompagnement sur ce « chemin de transition » était initié par un médecin, un psychiatre ou un endocrinologue et était généralement assuré dans les hôpitaux universitaires. « En fonction de l’attention et du stade de réflexion de la personne concernée, la tarification de notre équipe débute par un accompagnement multidisciplinaire (psychiatre, endocrinologue, urologue, gynécologue, etc.). L’objectif est triple : assurer la stabilité de la demande, vérifier l’absence de contre-indications à un trait hormonal (troubles sévères de la coagulation, maladies cardiaques…) et proposer un assistant pour préserver la fertilité (préliminaires et formation de spermatozoïdes ou d’ovules), qui affecte les cellules », a développé Eva Feigerlova, endocrinologue et éducatrice d’enfants au CHRU de Nancy, les valorisant dans une seule unité. Insérer.

Une transition longue et complexe

Pierre est arrivé pendant le processus de transition, la disposition hormonale vise à atténuer les figures sexuelles secondaires du genre non désiré (morphologies particulières, proches des organes sexuels, composées de deux sexes différents : elles se développent chez la femme, des muscles et encore des muscles chez les hommes…) et favorise le développement du genre. Cela « Grâce à une combinaison d’hormones (analogues de la GnRH, testostérone, oestrogènes…) cela permet de réduire le taux d’hormones sexuelles produites naturellement par la personne (testostérone chez les cellules nées nées menes men, strogènes et progestérone chez cellules nées femmes) et remplacement par les hormones du sexe opposé », détaille Eva Feigerlova. A long terme, parfumée sur plusieurs décennies, cette propriété, comme l’ensemble du médicament, peut entraîner des effets indésirables. Il affaiblit notamment le système opérationnel et favorise les maladies cardiovasculaires (infarctus du myocarde, AVC…), puisque dans certaines études les résultats ne peuvent être confirmés. Par exemple, Lors de Travaux, publié en 2022