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Les vaccins et les modifications virales réduisent de 50 % le risque de COVID à long terme, mais Omicron constitue toujours une menace

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Une étude récente publiée dans le Journal de médecine de la Nouvelle-Angleterre évalué le fardeau et le risque de P.est-UNMignon SÉgalités de CMaladie à oronavirus 2019 (COVID-19) (PASC) pendant la période pré-Delta, Delta et Omicron.

Le PASC, également appelé COVID long, affecte plusieurs systèmes organiques. Le risque augmente avec la gravité de l’infection et des maladies antérieures, mais diminue après la vaccination contre le coronavirus 2 (SARS-CoV-2) du syndrome respiratoire aigu sévère. Bien que le PASC ait été signalé dans différentes variantes du SRAS-CoV-2, on suppose que les variations des propriétés du virus, entre autres facteurs, pourraient avoir réduit le risque de PASC. Cependant, on ne sait pas clairement si et dans quelle mesure le risque de PASC a changé.

Étude : Conséquences post-aiguës d'une infection par le SRAS-CoV-2 dans la période précédant Delta, Delta et Omicron.  Crédit photo : p.ill.i / ShutterstockÉtude: Conséquences post-aiguës d’une infection par le SRAS-CoV-2 dans la période précédant Delta, Delta et Omicron. Crédit photo : p.ill.i / Shutterstock

À propos de l’étude

Dans la présente étude, les chercheurs ont comparé le risque et le fardeau du PASC pendant les vagues pré-Delta, Delta et Omicron de la pandémie de COVID-19. Ils ont sélectionné des vétérans atteints du COVID-19 entre mars 2020 et janvier 2022. Ils ont été stratifiés en cinq cohortes : non vaccinés et infectés pendant 1) les ondes pré-delta, 2) delta et 3) omicroniques et vaccinés et infectés pendant 4) les ondes delta et 5) omicroniques.

De plus, trois cohortes témoins spécifiques à une vague comprenaient des individus qui n’avaient pas encore eu d’infection par le SRAS-CoV-2. Les cohortes de COVID-19 ont été suivies depuis l’infection jusqu’à un an, la réinfection ou le décès. Les contrôles ont été suivis jusqu’à la première infection par le SRAS-CoV-2, un an ou le décès. Les chercheurs ont examiné les résultats de santé prédéfinis, répartis en dix catégories : fatigue, santé cardiovasculaire, gastro-intestinale, mentale, pulmonaire, neurologique, musculo-squelettique, métabolique, rénale, de coagulation et hématologique.

Un résultat d’incident était défini comme un incident survenu entre 30 jours et 12 mois après l’infection. De plus, le nombre d’années de vie ajustées sur l’incapacité dues au PASC a été estimé. Les données sur les covariables ont été collectées au départ. Les différences dans les caractéristiques de base entre les cohortes ont été évaluées. L’incidence cumulée du PASC a été estimée à l’aide d’équations d’estimation généralisées pondérées avec régression de Poisson.

Le risque PASC et le fardeau PASC ont été évalués sur la base des différences dans ces mesures entre les cohortes COVID-19 et témoins. Ces mesures ont été comparées entre les cohortes COVID-19 et évaluées dans des cohortes combinées COVID-19. Les analyses de décomposition ont examiné la contribution des vaccins et des périodes aux changements dans l’incidence du PASC. De plus, plusieurs analyses de sensibilité ont été réalisées.

Résultats

Les cohortes COVID-19 comprenaient 441 583 anciens combattants et les cohortes témoins comprenaient plus de 4,74 millions de personnes. L’incidence cumulée du PASC un an après l’infection était de 10,42, 9,51 et 7,76 événements pour 100 individus dans les cohortes non vaccinées au cours des périodes pré-Delta, Delta et Omicron, respectivement. Pendant la période Omicron, il était inférieur à celui des vagues pré-delta et delta.

Dans les cohortes vaccinées, l’incidence cumulée du PASC était respectivement de 5,34 et 3,5 événements pour 100 individus pendant les vagues Delta et Omicron. Il était plus faible chez les personnes vaccinées que chez les personnes non vaccinées. Par catégorie de maladies, le risque de maladies secondaires était plus faible dans la plupart des catégories, alors qu’il était plus élevé pour les troubles musculo-squelettiques, gastro-intestinaux et métaboliques au cours de la période Omicron.

Les analyses de décomposition ont montré 5,23 événements PASC de moins pendant la période Omicron que pendant les deux autres périodes combinées, soit une diminution de 51,77 %. Une grande partie (71,8 %) de cette baisse était due aux vaccins, tandis que plus de 28 % était due à des effets de calendrier. Les analyses de sensibilité ont fourni des résultats cohérents.

Conclusions

L’incidence cumulée du PASC a diminué pendant la pandémie de COVID-19, passant de 10,42 cas dans la période pré-Delta à 3,5 cas pendant l’ère Omicron. Néanmoins, elle n’était pas négligeable à l’époque Omicron. Il convient de noter que l’échantillon comprenait principalement des hommes blancs plus âgés et n’était donc peut-être pas représentatif de la population générale. La nature observationnelle de l’étude est sujette à des biais tels que des erreurs de classification et des biais résiduels.

De plus, les résultats reflètent le risque de PASC chez les individus positifs au SRAS-CoV-2 par rapport aux témoins naïfs d’infection. Par conséquent, les personnes présentant une infection non diagnostiquée peuvent présenter une maladie asymptomatique ou bénigne et un risque variable de PASC. Dans l’ensemble, l’étude a démontré la contribution de la vaccination et des effets du calendrier à la réduction du fardeau du PASC pendant la pandémie, bien qu’il existe encore un risque résiduel important chez les sujets vaccinés infectés à l’époque d’Omicron.



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