Les recherches de Françoise Bachelerie mettent en lumière les mécanismes moléculaires, cellulaires et immunitaires qui comprennent les interactions entre un virus et son organisme. De plus, dans la recherche du rôle supérieur de certains types de récepteurs de cheminée (des Cytokines Ils contrôlent la migration et la localisation des cellules immunisées et sont généralement associés au contrôle des infections virales. Mais ils peuvent aussi servir de voie d’entrée pour permettre au virus de pénétrer dans la cellule, ce qui contribue également au développement d’infections. Partant de la compréhension de ce processus fondamental, les travaux de Françoise Bachelerie ont examiné les implications médicales : les études précliniques pour démontrer l’effet thérapeutique potentiel d’antagonistes spécifiques de cette famille de receveurs ou d’enseignants Ligands Bloquer ou contrôler l’infection virale.

Peu après avoir obtenu son doctorat à l’Institut Pasteur en 1991, Françoise Bachelerie a obtenu une importante bourse postdoctorale sur la régulation du système immunitaire humain (VIH) aux États-Unis. Deux fois dans le laboratoire d’Irvin Chen à l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA). De retour à l’Institut Pasteur en 1996, elle s’identifie avec ses collègues Ali Amara et Fernando Arenzana, dirigés par Jean-Louis Virelizier. Ligand Par nature, le récepteur CXCR4 est l’un des deux récepteurs qui permettent au VIH de pénétrer dans les cellules humaines. En conséquence, la chimiokine CXCL12 a été stimulée en tant qu’inhibiteur naturel de l’infection par le VIH. Ce travail s’est développé dans un environnement scientifique très dynamique avec l’identification de nouvelles chimokases et de leurs receveurs. Pour accroître la complexité des interactions moléculaires, ces connaissances ont été découvertes grâce à de nouveaux champions de la recherche dans le domaine de la biologie cellulaire, de l’immunologie et de la pharmacologie, comme l’étude des interactions entre les virus et leur corps humain. En particulier, l’importance du « couple » CXCL12/CXCR4 se révèle au cours du développement embryonnaire et au sein d’une série de processus homéostatiques liés à la migration des cellules immunisées mais aussi à la prolifération et à l’observation de la grande majorité de ces cellules humaines.
Jeune femme, Françoise Bachelerie s’est impliquée en collaboration avec des cliniciens intéressés par les maladies rares, tels qu’Olivier Hermine, Alain Fisher et Jean Donadieu, qui sont chercheurs principaux d’hypothèses physiopathologiques et thérapeutiques issues d’observations cliniques.
Le premier modèle est le syndrome WHIM
Depuis ses débuts en 2000, Françoise Bachelerie développe avec ses collaborateurs des approches et des modèles originaux, notamment en ce qui concerne le premier modèle WHIM, un syndrome immunologique héréditaire très rare caractérisé par une susceptibilité au développement de pathologies associées à des infections causées par par le virus du papillome humain (VPH). Ce syndrome est causé par un dysfonctionnement du récepteur CXCR4, Le plus souvent lié au seul Polymorphisme La nature du Fils existe depuis ce jour. L’expérience est acquise en combinaison avec l’étude de ce modèle murin in vitro et Ex vivo Dans le cadre des examens préventifs de patients confiants, il est nécessaire d’atteindre des résultats plus élevés dans la compréhension des mécanismes de contrôle du CXCR4. Leucocytes Dans l’organisme, la circulation sanguine vient de pénétrer dans les sources tissulaires de CXCL12 (phénomène de « migration orientée » ou « chimiotaxie »).
Les chimiokines récepteurs aux propriétés atypiques…
En 2005, elle et son équipe ont identifié le deuxième receveur de CXCL12 (RDC1, renommé CXCR7, puis ACKR3). Ceci a attiré notre attention sur une nouvelle ligne de recherche visant à caractériser les fonctions de ce récepteur associé au groupe des récepteurs de chimokines de types atypiques (Atypique ChemoKine Receptor ou ACKR 1-4).
Ces récepteurs ont la capacité de capturer et d’intérioriser leurs ligands car ils sont incapables d’activer les canons de signalisation des récepteurs classiques de la même famille (récepteurs membranaires couplés aux protéines G-hybridrim ou protéines RCPG) comme une classe de receveurs atypiques en 2014, Françoise Bachelerie est membre d’un comité international d’experts. Lisez la suite pour comprendre comment ces récepteurs atypiques peuvent activer et confirmer l’activation du RCPG Contrôle les concentrations locales et la circulation des chimiokinèses. Cet objectif est au centre de nombreux programmes de recherche internationaux qui incluent un expert interdisciplinaire majeur en pharmacologie moléculaire, biologie structurale et cellulaire, neurobiologie ou immunologie/microbiologie.
… Responsable des recherches en cours par Françoise Bachelerie
Aujourd’hui, Françoise Bachelerie est à la tête de l’unité Inflammation, microbiome et surveillance immunitaire (Unité 996 Insérer/Université Paris-Saclay, Orsay) était dirigé par Marc Pallardy et Gabriel Perlemuter/Anne-Marie Cassard. Le pilote depuis 2015 est la structure fédérale de recherche Institut de thérapies innovantes Paris-Saclay (IPSIT), qui vise à améliorer l’interface entre chimères, chimères et biologistes, pharmaciens, galénistes et cliniciens à travers un programme de séminaires.
Les recherches actuelles de l’équipe de Françoise Bachelerie font suite aux principales recherches sur les mécanismes moléculaires et cellulaires qui soutiennent l’expression et l’activation du trio CXCL12 et ses récepteurs CXCR4 et ACKR3. De plus, il existe une opportunité de décrypter leurs interactions avec le système de ressources RCPG et leurs chimocoses dans l’homéostasie canine liées au contrôle du cycle de vie du papillomavirus. Ces membres constituent une grande famille de virus (avec plus de 440 membres, très proche d’un plan génétique) strictement infectieux. Épithélie peau et mucus. Certains individus sont responsables de 5 % des cancers humains (notamment les cancers du col de l’utérus et des voies respiratoires supérieures et éventuellement les cancers non cutanés).Mélanome). Au cours de cette dernière décennie, un changement de paradigme s’est produit puisqu’il apparaît que le virus du papillome est un virus qui affecte l’homme et les muqueuses de chaque individu. L’existence de ce microbiome (ou virus) viral constitue également un nouveau cadre conceptuel dans l’étude de nos interactions avec ce virus, considéré uniquement comme un pathogène strict, mais considéré comme un contributeur à l’homogénéité des épithéliums à travers des mécanismes qui restent à déterminer définitivement. établi. L’objectif de l’équipe de Françoise Bachelerie est d’identifier l’ensemble de ces mécanismes ainsi que les facteurs – humains, viraux et environnementaux – associés à la perturbation des interactions homme-VPH et de les introduire dans le pathogène. C’est pourquoi l’équipe s’adresse aux cliniques et contribue à davantage de projets de recherche européens traitant de la recherche d’intégrateurs multidisciplinaires pour les biologistes, les pharmaciens, les chirurgiens physiques et les galénistes. Ces collaborations enrichissent les approches expérimentales de l’équipe, combinant des cultures organiques d’humains avec des analyses de modèles de souris et des études réalisées, notamment en ce qui concerne les mesures préventives des patients en raison d’une susceptibilité particulière au développement de maladies causées par des infections à HPV et des cancers).
BIOGRAPHIE
Françoise Bachelerie est née le 30 mai 1961 à Tulle (Corrèze). Il a fait ses secondes études à La Rochelle (Charente-Maritime) et ses études supérieures à l’Université Paris-Sud, de Paris-Saclay.
cours
- 1986-1990 : Doctorat en Sciences Naturelles important dans la régulation du système immunitaire humain VIH/Sida, sous la direction de Jean-Louis Virelizier, Institut Pasteur, Paris
- 1991-1993 : Chercheur postdoctoral dans le laboratoire d’Irvin SY Chen, Département de Microbiologie et Immunologie, École de Médecine, Université de Californie, Los Angeles (UCLA), États-Unis
- 1993-1995 : Bourse postdoctorale à l’Unité d’Immunologie Virale, dirigée par Jean-Louis Virelizier, Institut Pasteur, Paris
- 1995 : Recrutement pour annonces d’emploi sous la responsabilité de recherche 1concernant Classe (Promue Directrice de Recherche de 2e Né en 2005, Responsable de Recherche 1concernant Promotion 2014)
- 1996-2010 : Chercheuse dans l’unité Inserm 819 Pathogénie virale moléculaire, dirigé par Fernando Arenzana-Seisdedos, Institut Pasteur, Paris
- 2010-2014 : Chercheuse au sein de l’unité 996 Inserm/Université Paris-Sud Cytokines, chimiokines et immunopathologie, dirigée par Dominique Émilie (-2011), par Marc Pallardy (2011-2014), Hôpital Antoine Béclère, Clamart
- Depuis 2015 : Directeur de la Fédérative Fédérative de recherche IPSIT
- 2015-2020 : Directrice de l’unité 996 Inserm/université Paris-Saclay, non connu pour l’inflammation, les chimiokines et l’immunopathologie, et responsable de l’immunorégulation équipe, de la chimiokinèse et de la persistance virale
- 2021 : L’ordre a été rétabli pour la même unité, inflammation inflammatoire, surveillance du microbiome et immunitaire et était implanté dans son Institut Henri Moissan à Orsay, où il fréquentait la Faculté de Pharmacie.
Participation aux instances scientifiques et à l’organisme de recherche
- 2002-2006 : Agence Nationale de recherche sur le sida
- 2003-2007 : Antipathie
- Depuis 2008 : Fonds national de la recherche scientifique (FNRS), Bruxelles, Belgique
- Depuis 2015 : Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada
- 2015-2017 : agence canadienne
- 2016-2017 : Espace européen de la recherche
- Depuis 2019 : Subventions de l’EEE et de la Norvège
- Depuis 2019 : Agence Nationale de la Recherche
- À partir de 2022 : Appels à projets internationaux INSERM
Membre des comités locaux :
- 2010-2020 : Comité de Pilotage du Laboratoire d’Excellence de recherche de médicaments et thérapies innovantes
- À partir de 2021 : Santé et innovation thérapeutique – HEALTHI
- À partir de 2021 : Comité Local de l’Institut Pascal UPSaclay, représentant de l’École Universitaire Sciences de la Santé & du Médicament, et conseiller scientifique de l’UFR Pharmacie
Sociétés savantes – Académies
- Membre de la Société française d’immunologie, depuis 2012
- Membre du GDR-G Protein-Coupled Receptors : De la physiologie aux médicaments – RCPG-Physio-Med, depuis 2012
- Réseau international de recherche (IRN) sur les GPCR, à partir de 2021