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Lauréat d’un échange de recherche européen en 2022 pour son projet sur le développement de tissus artificiels dans le domaine des organes prolapsus du bassin, Nicolas L’Heureux, responsable du laboratoire Bioingénierie tissulaire de Bordeaux, a ensuite travaillé sur la conception de récipients étanches, résistants et artificiels sans produits synthétiques.
Un article paru dans le magazine Inserm n°55
La recherche de sources peut-on pousser ? Qu’est-ce que je n’ai pas encore fait ? Ces interrogations, Nicolas L’Heureux, directeur de recherche Inserm, se les pos au quotidien depuis longtemps, « Comme un jeu ». Je suis sûr que mon idée est de repousser le plus possible les limites de la technologie des tissus vasculaires jusqu’à ce qu’elle soit utilisée par le Maître. « Lors de la réalisation d’une maladie cardiovasculaire ou d’un autre traitement, vous devez donner la préférence aux patients qui se trouvent dans un autre hôpital et qui ont subi une transplantation et les critiquer. Autogreffe reste aujourd’hui la meilleure solution, mais c’est une ressource limitée. » Maladies telles que AVC, hyperlipidémie ou autres thrombose, en raison des particularités des systèmes – ils attaquent tous nos appareils avec des degrés variables – de plus, nos appareils sont fragiles. De plus, la nécessité d’une intervention chirurgicale précoce et la probabilité d’une deuxième intervention sont très importantes. « Une greffe artérielle consistait en une année par an et un mois il y a six ans. » Restent alors les prothèses synthétiques.
D’autres produits artificiels en polyester, PET (Dacron®) ou PTFE (Goretex®) sont la solution miracle. Bien qu’inertes, ces plastiques sont attaqués dans les premiers jours après avoir été exploités par un intrus hypervigilant, hostile, hostile à un corps aliéné. Il existe une inflammation chronique du tissu implanté, qui survient avant le dernier traitement par Greffon. « L’inflammation extrême du cerveau produit une hyperplasie intime, il peut y avoir une hyper-cicatrisation des vaisseaux, qui se produit au niveau de la connexion entre les cellules et la prothèse ainsi qu’au niveau de la rigidité. », précise le chercheur. Il s’agit d’une compression du vaisseau due à une perte d’air, à des phénomènes de turbulence et à une amélioration progressive du fonctionnement interne du vaisseau, provoquée in fine par l’occlusion. « Et le diamètre du récipient est petit et la sélection est en conséquence. »
Des vaisseaux artificiels « nouvelle génération »
Nicolas L’Heureux ignorait les contours de ce problème. Au Laboratoire d’organogenèse expérimentale (Loex) du CHU de Québec, en 1989 et 1990, de jeunes biologistes ont commencé à remplacer des cellules bovines qui, comme des modèles animaux, pouvaient servir à améliorer les cellules humaines afin d’augmenter le niveau de tolérance du système immunitaire. Ensuite, la composition des gels de collagène utilisés dans le développement des vaisseaux sanguins est restaurée et adaptée aux altérations mécaniques des vaisseaux. Ce gel a été classé comme soluble pour le collagène et comme solvant pour la couleur dans la forme tissulaire concernée. Dans la lutte pour obtenir un aspic. « Le problème est qu’ils choisissent et adorent vous manipuler. » À la recherche d’une solution, l’étude a utilisé une technique de lyophilisation qui m’a permis de comprimer le collagène, augmentant ainsi la densité et augmentant la couleur de l’ancien tuyau afin qu’il puisse restaurer les cellules vivantes.
Et c’est exactement le moment où je peux dire n’importe quoi. Nicolas L’Heureux a décidé de conserver un flacon de cellules en culture dans un incubateur pendant deux semaines histoire de voir ce qu’il triait. « Dans certains laboratoires, il existe un risque de maintenir des cultures cellulaires stériles pendant plusieurs semaines. Je sais ce que j’ai dit auparavant et chez Loex, ce n’est plus un problème. Après quelques ajustements, j’ai enfin l’expérience de produire des feuillets homogènes et relativement anciens. Or cette technique est relativement courante et sans antibiotiques. »
Car là, surprise. Le contenu du flacon est rempli par une feuille d’alvéoles et un verre matrice extracellulaire Si vous restez spontanément et concluez des contrats, il vous suffit de débrancher le support en plastique. « Pour la première fois, nous obtenons un tissu biologique complet possédant des propriétés mécaniques similaires à celles des cellules de tissus naturels. Je peux me reposer, jouer avec. » En changeant de type cellulaire, Nicolas L’Heureux lui-même a obtenu un très bon résultat, avec un tissu plus résistant. Le viseur a une pente solide.
Après avoir multiplié les attaches, j’ai ajouté plusieurs feuilles supplémentaires sur les tubes pour créer des multicouches qui se trouvaient dans un bioréacteur afin que les couchettes puissent fusionner. Avant de Combiner Deux Types Cellulaires, Fibroblastes et des cellules musculaires, et placé au milieu du vaisseau, un trio, de cellules endotheliales. Le contenant artificiel nouvelle génération n’a pas été fabriqué. « Nous sommes capables de synthétiser des aspirateurs aux propriétés remarquables, sans apporter de résistance exogène et ayant des résistances mécaniques équivalentes, comme nos aspirateurs en ont sur les forteresses et les artères. » Continuer vers la publication d’Un article alors FASEB agendaIl y a aussi plus d’articles et de dépôts de brevets. Ses essais de haut niveau et sa longue période d’études ont débuté en 1995 en tant que chercheur postdoctoral à l’Université de San Diego (UCSD), en Californie.
Revenir aux fondateurs
« Quand je suis arrivé aux Etats-Unis, j’étais dans une autre université », voir le chercheur. Un monde ultra-entrepreneurial, positif, visionnaire. Très proche de l’industrie. « Avec un autre étudiant de l’UCSD, j’ai bénéficié d’un financement supplémentaire essentiel pour lancer la start-up Cytograft Tissue Engineering. J’ai eu quelques résultats supposés au cours des cinq dernières années, mais ce n’était pas suffisant. La période de développement est longue par rapport aux scénarios d’investissement classiques. » Cela signifie que Nicolas L’Heureux a décidé de gagner de l’argent grâce à la fondation. Nous revenons en France pour faire entrer l’époque dans laquelle nous vivons dans des temps nouveaux, sans chercher la valorisation de leur époque. En 2015 j’ai bénéficié d’un financement ANR dans le laboratoire Bioingénierie tissulaire (Biotis) de Bordeaux en échange ERC (Conseil européen de la recherche) Avancé En 2018, j’ai développé un nouveau modèle et je l’ai testé sur l’animal. « Je propose de décrypter les feuilles sur les draps avec les tissus que nous utilisons pour l’utilisation des approches textiles. Et c’est ce que nous avons fait. Nous disposons actuellement de mécanismes semi-automatiques à toile polyvalents pour des récipients particulièrement étanches et extrêmement résistants. »
Une nouvelle chose a commencé. Et avec cela l’ouverture à de nouveaux marchés. J’ai supposé que l’équipe avait reçu un financement ERC Proof of Concept pour l’Europe pour POPTex. Un projet qui vient de démarrer et vise à remplacer les filets de polypropylène éliminés du marché par du courrier biologique, dans le cadre de la maladie contre le prolapsus des organes pelviens, un syndrome préoccupant chez une femme en couple après 45 ans.
Dates clés
- 1998. Le premier article contient une édition biologique de l’ingénierie tissulaire à force physiologique
- 2000. Fondation de Cytograft Tissue Engineering, Inc., Californie
- 2004. Première implantation chez un patient présentant du tissu sanguin, édition de l’ingénierie tissulaire
- 2009. Publication de la première série de patients
- 2015. Directeur de recherche de 2e classe
- 2018. ERC Avancé
- 2022. Directeur de l’Unité Biotis à Bordeaux ; Preuve de concept ERC
Nicolas L’Heureux est responsable du laboratoire Bioingénierie tissulaire (Biotis, Unité 1026 Inserm/Université de Bordeaux), à Bordeaux.
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