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Marie-Astrid Boutet s’attaque aux mécanismes enflammatoires précoces de l’arthrose · Inserm, La science pour la santé

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Marie-Astrid Boutet, une équipe créée dans le cadre du programme Atip-Avenir, décrypte les mécanismes inflammatoires qui précèdent la destruction des articulations dans l’arthrose. Elle estime que sa caractérisation permettra au développement de thérapies de prévenir cette maladie ou d’en limiter la gravité. C’est certainement un grand défi pour des millions de patients de faire face au manque de fonctionnalités efficaces à l’heure actuelle.

Marie-Astrid Boutet est responsable du groupe Cellules Immunitaires et Thérapies Personnalisées de l’Arthrose (StratOA) et de son équipe Régénération et Pathophysiologie des Articulations au sein de l’Unité Médecine Régénérative et Squelette (Unité 1229). Insérer/Nantes Université/Oniris), à Nantes.

Douleurs, Raiders… L’arthrose a entravé la vie de millions de Français. Cette maladie entraîne une détérioration de l’articulation et son aggravation est imparable. En fait, à cette époque, aucune fonctionnalité ne permettait au joueur de poursuivre son développement. Mais Marie-Astrid Boutet, assistante à l’Unité Médecine régénérative et squelette (RMeS) de Nantes, où elle a changé d’épouse. Engagée à éduquer les mécanismes inflammatoires qui avaient survécu avant la destruction de l’articulation par les personnes souffrant d’arthrose, elle a quitté le voyage avec de nouvelles thérapies.

L’un des objectifs qu’elle a poursuivi avec beaucoup d’enthousiasme était de s’intéresser aux agents pathogènes qui ne pouvaient être arrêtés en cours de route. « J’ai gagné mon prix d’affection pour cette espèce particulière ! Confie-t-elle. Tourment moins connu des maladies cardiovasculaires ou du cancer, l’arthrosela Polyarthrite rhumatoïde et d’autres formes rhumatismales qui touchent des millions de personnes dans le monde. Les exigences imposées aux patients sont extrêmement élevées lorsqu’il s’agit de prendre soin de leur vie et d’améliorer leur qualité de vie. Mes recherches ont des implications médicales et économiques, individuelles et mondiales. » Appréhensions scientifiques sur la dimension de traduction associée à l’étude de ces pathologies. « J’y ai jeté mon dévolu, et quand je me dirige dans cette direction, ce n’est qu’une partie sur laquelle je recherche une clinique et dont je ne connais pas la moindre chose. »

En effet, elle se préparait à faire un doctorat dans le domaine de la polyarthrite rhumatoïde en collaboration avec un médecin scientifique et rhumatologue. Elle était à Londres pour rejoindre le laboratoire de Costantino Pitzalis. le Spécialiste de la polyarthrite rhumatoïde en Europeselon elle. Il est dans ma disposition de développer des produits biologiques uniques qui me permettent de déclencher l’inflammation articulaire par étapes en très peu de temps. » Un deuxième postdoctorant était à Milan et s’est spécialisé dans ses études Macrophagesles cellules immunisées sont repoussées vers les troubles articulaires.

Verset de thérapies ciblées

Ce cours s’appuie sur les contours de son projet actuel en clinique : déterminer au niveau cellulaire les différents profils inflammatoires observés chez les patients souffrant d’arthrose. « Suite à mes travaux sur la polyarthrite rhumatismale, nous avons identifié trois groupes de patients en fonction de la composition et de la répartition des populations de cellules immunologiques présentes dans la membrane. synoviale Je suppose que c’est le côté interne de l’articulation. Nous sommes issus de la série d’anomalies de mon genre dans l’arthrose. Avec l’équipe que j’ai pu écrire grâce à l’Atip-Avenir, il me faut repérer ces signatures », explique-t-elle. En clair, cela signifiait qu’elle avait une chance de réduire le risque d’arthrose grave. « Les thérapies que nous développons s’appuient sur nos observations pour détecter précocement les inflammations et la reconnaissance faciale spécifique et prévenir la destruction du cartilage. Les médecins recherchent actuellement des solutions thérapeutiques efficaces pour le patient », espère la chercheuse.

A son arrivée, Marie-Astrid Boutet l’a surpassée. « J’ai enfin trouvé un métier que je ne pouvais pas changer pour venir au monde alors que je n’imaginais pas les débuts de mes études ! Mais j’étais déjà une bonne surprise, une bonne surprise et tous ceux que j’avais amenés auparavant à la recherche sont des creuseurs de fourrures et exactement ce qu’il faut pour mon cours.plaisante-t-elle. Le métier est si varié et diversifié que je n’arrive pas à y penser : expériences, leadership d’équipe, recherche financière, conférences… Chaque jour est différent que jamais. Et je suis un expert scientifique et passionné par les rencontres avec des personnes intéressées par vos projets et capables de vous convaincre. » Je vous ai fait un petit résumé lors d’une conversation avec une équipe de quatre personnes, qui est une tournée où j’ai la chance de rencontrer de jeunes étudiants : « Nous avons désormais identifié les câbles du passé qui ont une forte probabilité de développements thérapeutiques futurs », se réjouit-elle.


Marie-Astrid Boutet est responsable du groupe Cellules Immunitaires et thérapies personnalisées de l’arthrose (StratOA) au sein de son équipe Régénération et physiopathologie des articulations